Vidéo
MotionDesign
Storytelling
Animation
Par
Arthur
13/5/2025
Chez TopoVideo, on ne fait pas “juste” des vidéos animées. On conçoit des messages qui captent l’attention, racontent une histoire… et surtout, qui font passer à l’action. Notre spécialité ? Le storytelling vidéo, bien sûr. Mais ce qui fait vraiment la différence dans notre approche, c’est la psychologie du consommateur.
Depuis nos débuts, on s’appuie sur les sciences humaines et sociales pour mieux comprendre ce qui se passe dans la tête de ceux qui regardent nos vidéos. Pourquoi certaines phrases marquent plus que d’autres ? Pourquoi une image donne envie de cliquer ? Pourquoi une structure narrative entraîne l’engagement ? Toutes ces réponses se trouvent dans la psychologie marketing.
Car non, il ne suffit pas de balancer un jingle sympa pour influencer la prise de décision. Mais quand on connaît les bons leviers mentaux… là, ça devient magique.
On a parfois tendance à croire que l’achat est une affaire de logique. Qu’un client choisit un produit après avoir soigneusement comparé les prix, les fonctionnalités, les garanties. En réalité ? Pas vraiment.
De nombreuses études en psychologie sociale montrent que la plupart de nos décisions sont irrationnelles, ou du moins émotionnelles avant d’être rationnelles. On décide d’abord avec le cœur, puis on justifie avec la tête. Et c’est là que les sciences humaines et sociales viennent éclairer les pratiques marketing modernes.
Ce n’est pas pour rien que les publicités les plus marquantes nous font rire, pleurer ou frissonner. L’émotion crée la connexion, elle rend le message mémorable. Et elle facilite le passage à l’action, car elle contourne les filtres mentaux liés au doute ou à l’analyse excessive.
En vidéo, cela veut dire que l’on ne vend pas un produit. On vend une transformation, un bénéfice humain, une sensation. Une carte-cadeau, ce n’est pas un bout de plastique : c’est le sourire de la personne qui la reçoit. Une solution SaaS, ce n’est pas un outil de gestion : c’est le soulagement de ne plus perdre de temps.
Nous sommes des êtres sociaux. On aime faire comme les autres, ou du moins comme ceux auxquels on s’identifie. C’est le principe de la preuve sociale. Si d’autres l’ont fait, c’est que c’est sûr. Si une marque est recommandée, c’est qu’elle est fiable. Si mes pairs utilisent cet outil, je devrais peut-être m’y intéresser.
Dans une vidéo, c’est ce qui pousse à intégrer des témoignages, des visages familiers, des situations de la vraie vie. On ne parle pas au prospect en tant qu’individu isolé. On lui parle comme membre d’un groupe, d’une communauté, d’un univers qui lui parle.
Le cerveau adore les raccourcis. Ce sont les biais cognitifs : ils influencent nos décisions sans qu’on s’en rende compte. La rareté, l’effet d’ancrage, la cohérence... Ces biais guident des choix d’achat tous les jours, sans que l’on s’en aperçoive. En les comprenant, on peut structurer des messages plus convaincants, plus efficaces.
Chez TopoVideo, quand on écrit un script, on pense toujours à ce que le cerveau de notre spectateur va ressentir à chaque étape. Ce n’est pas de la manipulation. C’est de la communication pensée pour être vraiment reçue.
On a vu les concepts. Voyons maintenant les stratégies concrètes, celles qu’on utilise tous les jours pour créer des campagnes vidéos efficaces. Ce sont les principes de la psychologie du consommateur appliqués à des formats dynamiques, modernes… et redoutablement performants.
Le storytelling, on en a parlé. Mais pour qu’il fonctionne, il faut qu’il parle à la cible. Une stratégie efficace consiste à adapter le récit à une problématique précise, à un persona clairement identifié. Plus la vidéo est ciblée, plus elle convertit.
Chez TopoVideo, on commence toujours par cette question : “À qui parle-t-on ? Et quel est son problème quotidien ?” C’est là que commence l’histoire.
On le voit souvent : les vidéos qui tentent de vendre tout, tout de suite, perdent l’audience. En revanche, celles qui construisent une relation – même en 90 secondes – préparent le terrain pour un engagement naturel.
Une stratégie gagnante, c’est de segmenter le message. D’abord capter l’attention. Ensuite éveiller la curiosité. Puis montrer la valeur. Et enfin, proposer une action simple. C’est un enchaînement logique, mais surtout psychologiquement fluide.
Ce que vous montrez est aussi important que ce que vous dites. Les couleurs, les visages, le rythme, les sons… Tout contribue à créer un ancrage émotionnel. Un bon design ne se contente pas d’être joli : il guide les ressentis, il raconte sans dire.
C’est pourquoi chez nous, chaque storyboard est réfléchi avec autant de soin que le script. On ne dessine pas juste des scènes, on construit des émotions en images.
On ne le dira jamais assez : montrez que d’autres ont testé, approuvé, adopté. Mais attention : pas juste un slide avec “+120 clients”. Mettez cette preuve dans la narration. Faites-en un élément vivant. Un personnage qui témoigne. Une scène dans une entreprise. Un chiffre intégré dans le déroulé.
Quand c’est incarné, ça fonctionne. Et ça influence directement la décision d’achat, sans que le prospect ait l’impression d’être “vendu”.
Enfin, une stratégie ultra-puissante : faire en sorte que le spectateur se voie dans la vidéo. Utiliser ses mots, ses situations, ses doutes, ses rêves. C’est ça qui fait passer un message de “voici notre solution” à “voici votre histoire”.
Quand un prospect se reconnaît dans une vidéo, il n’a pas besoin d’un argument de plus. Il a juste besoin de savoir comment démarrer.
C’est là que ça devient intéressant. Parlons des techniques marketing psychologiques. Elles sont directement issues de la psychologie sociale, et utilisées intelligemment, elles permettent de favoriser la prise de décision... sans manipulation. Simplement en parlant le langage du cerveau.
Chez TopoVideo, quand on crée une vidéo persuasive, on ne se contente pas d’aligner des images animées et une voix off sympathique. On structure chaque récit autour de leviers cognitifs bien identifiés. Voici ceux que j’utilise le plus souvent.
On a tous tendance à suivre ce que font les autres. C’est profondément humain. Si l’on voit que d’autres personnes comme nous ont déjà adopté un produit ou un service, notre niveau de confiance monte en flèche.
En vidéo, ça se traduit par des témoignages clients, des statistiques parlantes, des logos d’entreprises reconnues, ou encore des mises en situation concrètes.
C’est un biais ancestral. Notre cerveau est programmé pour ne pas rater une opportunité. Dans la savane, si tu n’attrapais pas la mangue mûre, quelqu’un d’autre le faisait. Aujourd’hui, c’est pareil avec les promotions ou les offres limitées.
En vidéo, on joue sur ce ressort avec des éléments visuels clairs : compte à rebours, messages d’urgence, tension narrative. Tout est dans le timing.
Un petit conseil : faites apparaître un personnage qui hésite, puis choisit de saisir l’occasion. Ce moment d’identification est souvent décisif. Il permet au spectateur de s’engager sans qu’on ait besoin de forcer.
C’est ce qu’on appelle le biais d’engagement. Quand une personne commence une action, elle a tendance à vouloir la terminer pour rester cohérente avec elle-même. Un petit “oui” entraîne souvent un plus grand “oui” derrière.
En vidéo, on pense le scénario comme un parcours progressif. On ne cherche pas à vendre dès les premières secondes. On capte l’attention, on suscite l’intérêt, on montre la valeur… puis on appelle à l’action.
C’est notre mantra chez TopoVideo. On le dit, on le répète : les faits racontent, mais les histoires vendent. Pourquoi ? Parce que le storytelling active les zones émotionnelles du cerveau. Il ne s’adresse pas à la logique pure, mais à l’imaginaire, à la projection, à l’envie.
Une bonne vidéo ne se contente pas de décrire. Elle raconte. Elle suit un schéma simple et universel : un héros, un problème, une solution, une transformation. C’est vieux comme le monde. Et pourtant, c’est toujours ce qui capte le mieux l’attention.
Un projet qui illustre parfaitement cette approche, c’est celui réalisé pour l’organisateur du Triathlon de Paris. Le brief : donner envie de s’inscrire à une épreuve sportive exigeante, sans tomber dans le cliché de la performance inaccessible.
On a alors choisi de raconter l’histoire d’un triathlète du dimanche, à travers un ton léger, presque autodérisoire. Un personnage qui doute, qui galère un peu, mais qui finit par se lancer. L’histoire n’est pas celle d’un athlète professionnel, c’est celle de Monsieur Tout-le-Monde, qui ose se dépasser.
Résultat : une vidéo qui suscite le sourire, l’émotion, et surtout l’identification. On ne vend pas une course. On vend une aventure humaine. On ne pousse pas à s’inscrire. On donne envie de faire partie de quelque chose.
Et c’est ça, la force du storytelling. Il ne dit pas "achetez", il dit "vivez". Et quand c’est bien raconté, les spectateurs n’ont plus besoin d’être convaincus… ils ont déjà décidé.
Si la psychologie marketing est la science, alors la vidéo est son meilleur vecteur de diffusion. Pourquoi ?
Les campagnes marketing numériques qui intègrent de la vidéo bien pensée, ancrée dans les sciences humaines sociales, performent mieux. Ce n’est pas une intuition, c’est un fait.
Si vous avez déjà cliqué sur “ajouter au panier” après avoir vu “dernières pièces disponibles”, félicitations : vous avez expérimenté un biais cognitif. Et vous n’êtes pas seul. Ces petits raccourcis mentaux, issus de notre évolution, sont partout. Ils nous permettent de prendre des décisions rapides, mais pas toujours rationnelles. En marketing psychologique, ils sont de véritables leviers d’action.
Chez TopoVideo, on les utilise non pas pour manipuler, mais pour rendre les messages plus fluides, plus convaincants et surtout plus humains.
C’est l’un des plus puissants. On cherche à valider ce qu’on croit déjà. Par exemple, si l’on pense qu’une entreprise est innovante, on sera plus sensible aux informations qui le confirment.
Dans une vidéo, cela signifie qu’il est souvent plus efficace de renforcer une croyance existante plutôt que d’en imposer une nouvelle. Un client dans l’univers de la formation nous disait : “Nos clients savent qu’on est experts, mais ils doutent de l’aspect fun.” On a alors construit une vidéo qui confirmait leur expertise tout en cassant le côté scolaire avec un ton décalé. Le message a été bien plus crédible.
C’est ce réflexe qui fait qu’un premier chiffre influence notre perception de tout ce qui vient après. Si l’on vous dit qu’un abonnement coûte 49 € puis qu’il est à 29 €, vous aurez l’impression de faire une bonne affaire.
En vidéo, on peut utiliser cette logique en présentant d’abord la douleur ou le coût caché du problème, pour mieux valoriser ensuite la solution. Un bon script joue avec l’ordre des informations pour maximiser leur impact.
Ce biais nous pousse à donner plus de poids aux idées les plus faciles à se remémorer. Une image marquante, une phrase bien tournée, une scène qui surprend : c’est ce qui reste en tête.
D’où l’importance de soigner le rythme et la narration en vidéo. Chez TopoVideo, on intègre souvent une image forte ou un personnage iconique pour graver le message dans la mémoire du spectateur. C’est de la psychologie sociale appliquée à la création audiovisuelle.
Comparer deux choses côte à côte influence notre perception. Une offre semble plus abordable si elle suit une offre premium. Un service paraît plus rapide quand on l’oppose à une méthode lente.
Ce principe est redoutable en vidéo. On le met en scène avec des oppositions visuelles : avant/après, compliqué/simple, lent/rapide. Ce contraste suscite une émotion immédiate, qui facilite la prise de décision.
On parle beaucoup de conversion, de trafic, de clics… Mais si on ne garde pas l’attention de ses clients, on passe à côté de l’essentiel : l’engagement. Et cet engagement ne se décrète pas. Il se construit.
La bonne nouvelle, c’est que la psychologie sociale, cette branche passionnante des sciences humaines, nous donne des clés très concrètes pour le nourrir. Chez TopoVideo, c’est le fil rouge de tout ce qu’on crée : provoquer une réaction, créer du lien, construire une relation. Voici comment la psychologie peut devenir votre meilleure alliée pour fidéliser vos clients.
Le cerveau décide très vite s’il s’implique ou non. Si la première impression est froide, impersonnelle ou générique, c’est déjà presque perdu. C’est pour ça que chaque vidéo qu’on produit démarre avec une accroche émotionnelle forte.
Un personnage qu’on comprend. Une situation familière. Une tension, une promesse, un sourire. On parle ici du biais d’affect : ce qu’on aime, on s’y attache. Et ce à quoi on s’attache, on y revient.
On le voit sur les campagnes vidéo qu’on suit : plus le récit est bien construit, plus les gens vont jusqu’au bout. Un début qui intrigue, un milieu qui maintient l’intérêt, une fin qui récompense. Le cerveau aime les histoires parce qu’il a grandi avec. C’est comme ça qu’il apprend, qu’il retient, qu’il agit.
Et plus un client est engagé dans un contenu, plus il sera engagé avec votre marque. La vidéo devient alors un prolongement de votre relation client, pas juste un outil de conversion.
Les clients n’aiment pas qu’on leur dise quoi faire. Ils aiment avoir le choix. Et pourtant, tout l’art du marketing psychologique, c’est de guider… sans imposer. En vidéo, on peut proposer un parcours, poser des questions, inviter à l’action, sans jamais être dans l’injonction.
Ce principe s’appuie sur la théorie de l’autodétermination : plus on sent qu’on choisit librement, plus on s’investit profondément. Un call-to-action bien amené, c’est un choix assumé, pas une pression déguisée.
Une fois qu’un client interagit, même légèrement (like, clic, visionnage partiel), il est plus enclin à aller plus loin. C’est le biais de cohérence : on aime rester fidèle à nos premières décisions.
C’est pour cela que l’on pense nos vidéos comme des entonnoirs doux. On ne vend pas dès la première minute, on invite à une micro-action : découvrir, explorer, cliquer pour en savoir plus. Et ce premier pas, bien accompagné, en déclenche souvent un second… puis un troisième.
La psychologie jungienne a identifié des archétypes universels (le héros, le sage, le rebelle…). Ce sont des profils auxquels on s’identifie sans même y penser. Dans nos créations, on utilise souvent ces repères pour construire des personnages et des discours qui résonnent avec les aspirations profondes du client.
Un client qui se voit comme un pionnier n’a pas besoin d’un argument technique. Il a besoin d’un appel à l’innovation. Un client rassuré par la structure veut de la fiabilité, pas du fun. En adaptant votre discours à ce que votre client veut vivre, vous renforcez naturellement son engagement.
Passons maintenant à la pratique avec des exemples concrets de projets réalisés par TopoVideo, où l'application des principes de la psychologie du consommateur a permis de créer des vidéos percutantes et efficaces.
Contexte : Pelico, une plateforme SaaS de pilotage des opérations de supply chain, souhaitait démontrer l'ampleur des problèmes rencontrés dans les chaînes d'approvisionnement et positionner sa solution comme la réponse idéale à ces défis.
Approche psychologique : Nous avons utilisé le biais de contraste en présentant d'abord une situation difficile vécue par les équipes d'approvisionnement, puis en introduisant la solution Pelico de manière simple et compréhensible. Les couleurs ont été soigneusement choisies pour souligner les différentes étapes du récit : des tons orange pendant l’annonce du problème, symbolisant l’urgence, la confusion et le stress, puis des tons verts lors de la présentation de la solution, évoquant la sérénité, la fiabilité et l’efficacité.
Résultat : Une vidéo qui capte l'attention, sensibilise à la problématique et positionne Pelico comme une solution stratégique incontournable.
Contexte : Eurofor Group, spécialiste des équipements de forage, souhaitait présenter ses services et son expertise technique à travers une vidéo explicative.
Approche psychologique : Nous avons mis en avant la preuve sociale en illustrant les différentes réalisations du groupe et en soulignant la satisfaction de ses clients. Le biais d'autorité a également été utilisé en mettant en lumière l'expérience et le savoir-faire de l'entreprise.
Résultat : Une vidéo qui renforce la crédibilité d'Eurofor Group et rassure les prospects sur la qualité des services proposés.
Contexte : Illicado, acteur majeur des cartes cadeaux multi-enseignes, souhaitait présenter son offre de manière ludique et accessible.
Approche psychologique : Nous avons utilisé le biais de disponibilité en créant une vidéo mémorable et facile à retenir, avec des visuels attrayants et un message clair. Le storytelling a permis de créer une connexion émotionnelle avec le spectateur, en illustrant des situations concrètes où les cartes Illicado apportent une solution simple et efficace.
Résultat : Une vidéo engageante qui facilite la compréhension de l'offre et incite à l'action.
Contexte : Le Showreel 2025 de TopoVideo présente une compilation des meilleurs projets de vidéos explicatives réalisés au cours de l'année.
Approche psychologique : Nous avons mis en avant la preuve sociale en montrant la diversité des secteurs d'activité et des styles de vidéos réalisés. Le biais de familiarité a été utilisé en incluant des éléments reconnaissables et en créant une ambiance dynamique et professionnelle.
Résultat : Une vidéo qui illustre l'expertise de TopoVideo et inspire confiance aux prospects en quête d'un partenaire pour leurs projets vidéo.
À l’heure où les consommateurs sont sollicités de toutes parts, la psychologie marketing n’est pas un outil de plus dans une boîte à outils digitale. C’est un véritable levier stratégique, qui permet de reconnecter les marques à ce qui compte vraiment : le fonctionnement humain.
Comprendre les biais cognitifs, les mécanismes de décision, les émotions qui guident les comportements, ce n’est pas manipuler. C’est créer des messages qui parlent au bon endroit, au bon moment, de la bonne façon. C’est faire du marketing qui respecte l’intelligence du client, tout en guidant subtilement ses choix.
Et quand on applique ça à la vidéo – ce format ultra-puissant qui combine image, son, narration et rythme – le résultat est redoutable : plus d’attention, plus d’engagement, plus de conversion.
Chez TopoVideo, c’est exactement notre mission. On conçoit des vidéos qui ne se contentent pas d’expliquer, mais qui rassurent, motivent, convainquent, et surtout… marquent.
Alors si vous voulez arrêter de parler dans le vide et commencer à toucher vraiment vos prospects, c’est peut-être le moment de faire entrer un peu de psychologie dans votre communication.
Vous avez une idée ? On en discute.Vous avez un doute ? On le clarifie.Vous avez un message ? On le transforme en vidéo qui influence… avec bienveillance.
Et vous, c'est quoi votre Topo ?
Confiez-nous votre projet avec le plus de détails possible. Nos experts reviendront vers vous très rapidement.
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